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Dans un monde où la transition énergétique s’impose comme un enjeu majeur, la formation audit énergétique s’impose comme une compétence clé pour les professionnels du bâtiment et de l’environnement. En 2025, cette expertise n’est plus une option mais une nécessité pour accompagner efficacement la réduction des consommations énergétiques et répondre aux exigences de plus en plus strictes des réglementations et des aides financières. Cet article explore comment accéder à cette formation et pourquoi il est impératif de s’engager dans ce parcours dès aujourd’hui.
Le contexte réglementaire évolue rapidement avec notamment l’arrêté du 10 juillet 2025 qui impose des modalités précises pour la réalisation des audits énergétiques dans les bâtiments. Organismes reconnus tels que Afnor, Qualibat, et Apave proposent des formations alignées sur les normes NF EN 16247 afin de garantir une méthodologie rigoureuse et des rapports adaptés aux attentes de l’ADEME.
Cette formation couvre tous les aspects indispensables : du cadre normatif aux méthodes de collecte et d’analyse des données énergétiques jusqu’à la réalisation de diagnostics terrain et la rédaction de rapports clairs, chiffrés et convaincants. Acquérir ces compétences permet aux professionnels de répondre aux besoins croissants du marché, notamment dans les logements classés F et G soumis à audit obligatoire en cas de vente.
La formation audit énergétique ne se limite pas à une simple acquisition de savoir-faire technique. Elle représente un véritable levier pour booster sa carrière, que ce soit en tant qu’ingénieur conseil, thermicien du bâtiment, ou consultant environnement. En intégrant des modules pratiques utilisant des logiciels spécialisés comme BAO PERRENOUD et en suivant des cursus proposés par des organismes de renom comme AFPA ou Greta, les auditeurs se forment à analyser précisément la consommation énergétique et à proposer des scénarios de rénovation sur-mesure.
Les anecdotes ne manquent pas : certains auditeurs récemment formés ont réussi à convaincre des maîtres d’ouvrage grâce à un rapport détaillé intégrant des recommandations concrètes et une évaluation financière aboutie. Ces succès illustrent le potentiel d’impact de cette formation sur des projets concrets de transition énergétique.
Plusieurs parcours s’offrent aujourd’hui aux curieux comme aux professionnels : des formations courtes et intensives proposées par La Solive ou Dorémi, qui privilégient une approche terrain et une immersion rapide, aux programmes plus longs et diplômants comme ceux du CNAM ou de l’INIES, pour ceux qui recherchent une spécialisation poussée, notamment autour du solaire et des bâtiments bas carbone.
L’offre comprend également des sessions hybrides mêlant distanciel et présentiel, un réflexe nécessaire dans un contexte post-pandémique où la flexibilité est appréciée. Le financement est souvent partiel voire total grâce aux dispositifs CPF, OPCO, ou par le biais des plans d’entreprise, avec un appui possible pour le montage de dossier auprès des organismes comme Cegos ou Bureau Veritas.
Réussir cette formation repose sur un équilibre subtil entre compréhension théorique et application sur le terrain. Une formation bien conçue, certifiée QUALIOPI et reconnue par des labels tel que Effinergie, garantit aux stagiaires un volume horaire suffisant pour maîtriser les différents aspects : thermique, réglementation, logiciels spécialisés, et communication technique.
Il est important de noter que les profils techniques du bâtiment (architectes, ingénieurs en génie climatique, thermiciens) sont largement favorisés mais des modules spécifiques accompagnent aussi les débutants motivés. Et le pire ? Personne n’en parle assez : cette formation peut véritablement transformer une carrière, mais le marché reste peu saturé, offrant des opportunités inédites aux auditeurs bien formés.